Un Compte rendu plus rapide que celui de la semaine dernière. Il s'agit toujours des parties dites de révision entre Francky et votre serviteur (Laurent).
La bataille mettait de nouveau en prise des parachutistes allemands; les Fallschirmjäger Kompanie à des parachutistes américains.
Le scénario tiré au sort fut "La Pince". Un scénar' attaque/défense avec le défenseur qui fait rentrer ses réserves par les côtés du plateau de jeu.
Les allemands sont les attaquants,. Les ricains en défense autour de deux objectifs placés dans un village en ruine bien investi lors du déploiement par les représentants de la bannière étoilée.
Les allemands sur leur flan droit montèrent le plus vite possible à l’assaut, appuyés -qu'ils croyaient- par 3 panzers. Mais voilà.... si les p'tits gars d'outre-rhin purent galoper dans cette campagne italienne sans trop de mal, il n'en fut pas autant des chars allemands qui ne soutinrent rien du tout et qui furent mis petit à petit hors de course par l'aviation et les canons anti-tank ennemis sortis soudainement du bois.
Et que se passait-il de l'autre côté ? Et bien une autre troupe de paras allemands avançait vers un petit bois défendu par les américains. Petit bois placé juste devant l'un des deux objectifs. Mais sur ce côté, l'avancée allemande était plus prudente. Les tirs d'artillerie et de mortiers refroidissant les ardeurs.
Sur le flan droit, les allemands aidés de STUG arrivèrent en face du village et se calfeutrèrent derrière une rangée d'arbres. S'en suivi un feu nourri toujours aidé de l'aviation et de l'artillerie qui décima la troupe allemande. Les américains décidèrent alors de faire monter des chars pour terminer le boulot. Mais voilà, à leur tour de compter les pertes. Au revoir les chars et bye bye les canons anti-tank ! Merci les PAK 40 !
Sur la gauche, les américains livrèrent une bataille au corps à corps épique à coup de LMG qui là aussi chassa les allemands de cette campagne italienne. Sur la droite les positions se figèrent et si on avait pas eu un calendrier sous la main, nous aurions pu penser que nous étions de retour en 1916.
La partie en resta là. Nous fîmes un petit assaut pour bien réviser le fall-back puis nous nous séparâmes dans une entente cordiale... surtout de la part des ricains qui avaient assuré le job. Les allemands pouvaient rentrer chez eux réviser le manuel du "parfait petit attaquant".
Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. M. Audiard
